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dimanche 12 décembre 2010

Sao Nicolau : du 25 novembre au 28 novembre

Sao Nicolau est une île très verte et montagneuse, ce qui contraste fortement avec les autres îles du Cap-vert.

Nous mouillons donc à Tarrafal juste aux pieds des montagnes verdoyantes.


Mouillage devant les montagnes


Les montagnes au bord de la mer


Plage de sable noir où attendent les barques de pêche

Nos amis de Ganesha ayant habité à la Réunion sont des habitués de la randonnée et nous entrainent donc dans l’ascension du mont Gordo, pic de l’île, à 1300 mètres d’altitude.

Pour ce faire nous devons prendre un « aluguer », un taxi commun pour atteindre le sentier.


Taxi pour aller au sentier


Dans les lacets…

Début de la randonnée


Petite maison sur les hauteurs


Vue imprenable sur Sao Nicolau


Végétation luxuriante


Panorama de montagnes

Encore et toujours des montagnes


Nous sommes qu’à quelques mètres du Monte Gordo…


Enfin le pic


La descente…


Petite pause bien méritée…

Nous sommes presque arrivés…


Fin de la randonnée…

Boavista – Sal Rei (du 18 novembre au 24 novembre 2010)

Après avoir effectué différents mouillages sur l’Ile de Sal, nous décidons, avec nos copains de Ganesha, de prendre la direction de l’île de Boavista. Ce n’était pas au programme initialement mais les différents équipages rencontrés lors de nos escales nous convainquent de nous y rendre.

Nous arrivons sur le mouillage de Sal Rei. Sal Rei étant la ville principale de Boa Vista. Bien que le mouillage soit magnifique, l’arrivée reste très délicate puisqu’il y a la présence de hauts-fonds d’un mètre non indiquée.

Nous avons eu un réel coup de cœur pour cet endroit et nous y restons finalement une semaine. Plusieurs choses nous ont séduites : tout l’abord la ville de Sal Rei avec ses influences portugaises et puis et surtout ses longues plages de sable blanc et la mer à 28 degrés…


Visite de Sal Rei à pied...

Une des rues principales


Sous la chaleur…


La place de l’église


Petite maison

Point de « verdure » dans une rue


Séchage du linge


Photos de groupe : Bernardo, Caro, Lilie et Nico

Durant cette semaine sur l’île, nous avons pris nos petites habitudes et notamment celle de se baigner, boire un verre dans les bars de plage sur cette baie proche de notre mouillage.


La plage de sable blanc…


Encore la plage à perte de vue…

Petite pause durant la promenade


Les pieds dans l’eau


Le fameux bar de plage


Vue de l’intérieur du bar sur la plage


Nico et Lilie : l’équipage de Ganesha

Caipirania sur la plage…


Coucher de soleil


Notre 4/4 : compagnon pour la journée


Le début des dunes


Photo artistique…

Antoine, Caro et Lilie au milieu des dunes


En 4/4, on the road again…


Paysages arides rencontrés sur la route


Petit village au milieu de l’île


Belle petite maison ombragée…

Vente de fruits et légumes


Pause dans un petit café


Plage déserte d’Ervatao


Sur la plage…


Caro est pressée d’aller se baigner…

Paysages désertiques


Au fond, la mer...

Nous découvrons aussi la nourriture locale. Ici, bien sur le poisson est roi. Et pour accompagnement, nous mangeons « la cachupa », des grains de maïs cuisiné, le tout pour en moyenne 280 escudos par plats (soit 2,80€).

Et puis bien sur, les fameuses langoustes à des prix raisonnables…


Dégustation de langoustes dans un bar de plage…


Langoustes grillées…

Toutes les bonnes choses ont une fin. La date de la transat approchant, il faut partir pour rejoindre une autre île, Sao Nicolau. 95 miles séparent Boa Vista de Sao Nicolau. Nous nous préparons donc à environ 18 heures de navigation et une « nav’ » de nuit. Des vents faibles sont annoncés, mais une houle assez importante… Nous partons vers 14 heures de Sal Rei afin d’arriver au petit matin à Tarrafal, mouillage de Sao Nicolau.

La nuit fut un peu mouvementée et surtout en seconde partie avec des vents de 20 à 25 nœuds et une belle mer croisée… Ce n’était pas ce qui était annoncé à la météo marine…

En plus des conditions météo, une autre galère nous est tombée dessus : le pilote automatique est tombé en panne une nouvelle fois et ce en début de soirée. Résultats, nous avons donc dû barrer toute la nuit en alternance et sans pause…


Caro à la barre au petit matin